Gabon/Législatives : Qui en veut au candidat de l’UDB, Patrick Barbera Isaac ?

LIBREVILLE (Equateur) – Depuis l’investiture de Patrick Barbera Isaac par le parti présidentiel Union démocratique des bâtisseurs (UDB) comme candidat à la députation pour le 2e siège du 2e arrondissement de Port-Gentil, certains activistes, ignorants les réalités du travail, le prennent pour cible. Leur appel au boycott, fondé sur des arguments fallacieux, relève davantage de la manipulation politique que de la vérité.

 

Ils l’accusent, sans fondement, d’être responsable de l’obsolescence de certaines conventions collectives. Pourtant, chacun sait que ces conventions résultent d’un dialogue social entre syndicats et patronat, et non d’une décision unilatérale du ministre.

 

En tant que ministre du travail, son rôle consiste à accompagner, faciliter et valider ces accords, et non à les rédiger à la place des partenaires sociaux. Feindre de l’ignorer, c’est soit faire preuve d’ignorance, soit chercher délibérément à tromper les travailleurs.

 

Certains prétendent qu’il se contenterait de rester dans son bureau. La réalité est tout autre. Le 3 septembre dernier, Patrick Barbera Isaac a conduit une mission de terrain dans les entreprises portuaires d’Owendo. Il a évalué les conditions de travail, vérifié le respect des dispositions légales et conventionnelles, et renforcé le dialogue social.

 

Le ministre a rencontré dirigeants et représentants du personnel, abordant des enjeux majeurs tels que la gabonisation des emplois, la sécurité et le climat social. « Je suis venu toucher du doigt ce secteur particulier de la logistique portuaire… Je repars pleinement satisfait de cette expérience qui m’a donné une vue globale du secteur », a-t-il déclaré.

 

Il est essentiel de préciser que sa candidature aux législatives relève du champ politique, tandis que la gestion des conventions collectives relève du champ institutionnel. Les accusations portées contre lui mélangent volontairement ces deux domaines.

 

Par ce procédé, ses adversaires, faute d’arguments politiques pertinents, cherchent à instrumentaliser les travailleurs et créer une confusion délibérée pour affaiblir sa candidature. Cette stratégie révèle leur incapacité à débattre sur des projets et programmes concrets pour la localité.

 

Ce qui dérange véritablement ses détracteurs, c’est que Patrick Barbera Isaac est en train de sortir le Ministère de sa léthargie. Son pragmatisme, ses actions concrètes et sa montée en leadership inquiètent, tant sur le plan sectoriel que politique. Des clans, y compris au sein de sa famille politique, se sentent menacés, pourtant la direction nationale du parti a déjà condamné ces comportements mesquins.

 

L’inclusion, telle que prônée par le président fondateur de l’UDB, devait être un levier d’ouverture et de rassemblement. Mais mal interprétée, elle cause aujourd’hui plus de tort que de bien au parti. Certains profils douteux, héritiers des pratiques de l’ordre ancien, ont profité de cette politique pour infiltrer les rangs, non pas pour bâtir, mais pour saboter.

 

L’UDB ne devrait pas se laisser piéger par ces faux compagnons, qui usent du discours de l’inclusion pour masquer leur volonté de nuisance.

 

Enfin, la nébuleuse au Ministère du Travail ne date pas de lui. Plusieurs de ses prédécesseurs ont été victimes des mêmes réseaux mafieux, qui prospèrent en instrumentalisant les travailleurs et l’opinion. Aujourd’hui, ces réseaux voient en Patrick Barbera Isaac un obstacle de taille, d’où la campagne de dénigrement orchestrée.

 

Le choix est clair : céder à la manipulation de ceux qui veulent maintenir le statu quo, ou soutenir un homme qui, preuves à l’appui, agit concrètement pour moderniser le monde du travail et protéger les travailleurs.

 

Patrick Barbera Isaac a choisi l’action. Ses adversaires ont choisi la calomnie. Le peuple saura faire la différence.

 

 

LA RÉDACTION 

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