Gabon : Le grossier montage visant le ministre du Travail, Patrick Barbera Isaac
LIBREVILLE (Equateur) – Depuis quelques jours, circule dans l’espace public une accusation mensongère prétendant que le Ministre du Travail, du Plein Emploi et du Dialogue social, Patrick Barbera, se serait illégalement approprié une parcelle de terrain de l’État à Port-Gentil. Cette publication, relayée sans vérification, ne relève pas d’une critique légitime, mais d’une cabale orchestrée visant à salir l’intégrité et réputation du membre du gouvernement.
La parcelle en question, située en face des « 25 logements », avait été identifiée par l’Administration du Travail depuis plusieurs années comme un site destiné à accueillir un investissement pour la direction provinciale du Travail à Port-Gentil.
Le terrain appartient officiellement au Programme National de Promotion de l’Emploi (PNPE) sous tutelle du Ministère du Travail, comme confirmé par la Direction provinciale de l’Urbanisme (TF n°235, section H, superficie 836 m²) à travers son courrier n°000240 du 14 août 2025.
La correspondance citée par les détracteurs n’était pas une démarche personnelle du ministre. Elle provenait du Directeur provincial du Travail, adressée à son homologue de l’Urbanisme et du Cadastre, afin de clarifier la propriété du terrain et éviter tout conflit administratif avant de lancer la construction des logements.
Face aux conditions précaires de logement des fonctionnaires à Port-Gentil, Patrick Barbera a pris l’initiative de sécuriser juridiquement le projet, via le Conseil d’administration du PNPE, afin que la parcelle serve effectivement à son bénéficiaire légitime, notamment la direction provinciale du Travail.
Le ministre n’a jamais cherché à s’approprier la parcelle pour lui-même ou pour un tiers. Un manque de précision dans la rédaction du relevé de décisions du Conseil a été exploitée pour laisser croire le contraire. Concernant le document donné à certains activistes, il ne s’agit pas du PV du Conseil d’administration, en cours de rédaction, mais d’un relevé des decisions, document interne au Conseil qui donne un aperçu des decisions.
Le PV qui est le document juridique definitif sera adopté au cours du prochain Conseil, après relecture et corrections par les administrateurs de toutes les erreurs malencontreuses.
En réalité, en début de séance, Patrick Barbera a simplement expliqué le contexte et soumis cette préoccupation à l’attention du Conseil. Puis s’est retiré pour laisser le Conseil délibérer librement, respectant ainsi toutes les procédures légales.
Une cabale politique orchestrée
Cette affaire révèle une stratégie claire : certains acteurs, peut-être impliqués dans des malversations financières , ont choisi de détourner l’attention des véritables enjeux en fabriquant un scandale autour d’un mensonge. L’objectif : fragiliser un ministre dont l’intégrité et les réformes dérangent des intérêts occultes, tout en donnant l’impression d’un abus personnel.
Un projet d’intérêt général détourné par la rumeur
Le véritable enjeu de ce projet n’est pas personnel, mais collectif :
– Offrir des logements décents aux fonctionnaires de l’administration du Travail en affectation à Port-Gentil.
– Garantir que le terrain reste sous contrôle de l’administration, même en cas de changement de tutelle du PNPE.
– Démontrer que le ministère agit avec transparence et rigueur, loin des pratiques opaques dénoncées par le public.
La vérité au-delà du bruit
Les accusations visant Patrick Barbera constituent un nouveau pétard mouillé, destiné à créer un scandale là où il n’existe pas. La vérité est simple : le ministre n’a jamais acquis de parcelle pour son intérêt personnel. Il s’est plutôt battu pour que le terrain serve au bien public et au logement des fonctionnaires, conformément à son engagement pour l’intérêt général et la modernisation de l’administration.
Face à ces attaques, il est essentiel que la population gabonaise fasse preuve de discernement, et reconnaisse l’action d’un ministre déterminé à défendre la transparence et le service public, malgré les manœuvres malveillantes de quelques-uns.
LA RÉDACTION
