Victor Missanda rempile à la tête de l’UDERE

LIBREVILLE (Equateur) – Les militants et sympathisants de l’Union Démocratique et Républicaine (UDERE), ont une nouvelle fois porté Victor Missanda à la tête du parti, au terme des travaux du 1er congrès ordinaire de cette formation politique proche du Pouvoir, qui s’est tenu le samedi 19 octobre dernier à Owendo.

 

C’est dans la commune d’Owendo, au sud de Libreville, que le 1er congrès ordinaire pour la relance des activités de l’Union Démocratique et Républicaine (UDERE) s’est tenu. Une relance des activités qui a été marquée entre autres, par le renouvellement des organes de décisions et le renouvellement des dirigeants de parti, ainsi que l’adoption de certains textes importants du parti.

 

« Nous avons pensé, un an après, qu’il était nécessaire pour nous d’organiser ce congrès pour relancer le parti (…). Il était question pour nous, de restructurer ce parti bien que jeune », a déclaré Victor Missanda, président de cette formation politique.

 

Il s’agissait également pour les congressistes d’élire le nouveau président de leur parti politique proche du Pouvoir en place. Et comme il fallait s’y attendre, le président sortant, Victor Missanda a été réélu à la tête du parti.

 

Dans son discours de circonstance, Victor Missanda a remercié les militants de l’UDERE pour la confiance placée en sa personne. Une confiance qu’il s’est engagé à mériter en œuvrant pour à l’édification d’une nation fondée sur les valeurs de paix, de justice, d’égalité, de liberté, de travail, de solidarité, de prospérité partagée et de progrès.

 

Il a profité de l’occasion pour rendre un hommage solennel au président gabonais, Ali Bongo Ondimba, pour son pragmatisme dans le développement du Gabon durant ses dix années à la tête du pays. Aussi, a-t-il réitéré le soutien de l’UDERE à la politique du Chef de l’Etat.

 

S’adressant particulièrement aux acteurs politiques de la Majorité et de l’Opposition, le président de l’UDERE les a mis en garde contre tout discours incitant la population gabonaise à la haine. D’après lui, les évènements de la présidentielle de 2016 devraient leur servir de leçon.

 

 

Levi NGOMA  

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