« Trans Akanda se porte bien, il n’y a pas de retard de salaires », dixit José Ngimangoal, DG de la société

LIBREVILLE (Equateur) – D’après José Ngimangoal, la société de transport Trans Akanda se porte bien. Contrairement à certaines allégations, sa société qui est sur le point de mettre un nouveau produit sur le marché, n’accuse aucun retard de salaires et n’appartient nullement aux frères Laccruche Alihanga.

 

La société de transport Trans Akanda se porte bien. Une assertion tenue ce mercredi 19 février à Libreville, par son directeur général, José Ngimangoal, qui a tenu à réagir à notre article paru le mardi 18 février dernier, dans lequel certains individus se réclamant de sa société, se plaignaient de deux mois d’arriérés de salaires.

 

D’après M. Ngimangoal, ces allégations sont mensongères, sa société n’accuse aucun arriéré de salaires. Le personnel est régulièrement rémunéré le 5 de chaque mois. « Actuellement nous avons fini avec les états de salaires. Le 5 mars prochain chaque employé aura son argent. Depuis le lancement de la société, il n’y a jamais eu de retard à ce niveau, car c’est ma priorité », a-t-il affirmé.

 

Par ailleurs, le DG de Trans Akanda soutient également que sa société n’a aucun problème de fonctionnement comme certains veulent le faire croire. « La semaine prochaine Trans Akanda va lancer un nouveau produit. Pensez-vous qu’une entreprise qui se porte mal, mettrait sur le marché un nouveau produit ? Rassurez-vous la société n’a aucun problème de fonctionnement, tout va bien », a-t-il confié.

 

Concernant la raison sociale de Trans Akanda, José Ngimangoal révèle que cette société de transport est entièrement privée, et n’appartient nullement aux frères Laccruche Alihanga ni à la municipalité d’Akanda. Selon ses explications, ce sont des mécènes gabonais soucieux de contribuer à l’amélioration des conditions de transport des akandais, qui ont créé cette société.

 

Pour rappel, la société de transport Trans Akanda qui a été lancée au mois d’août 2019, dessert les lignes d’Okala, Carrefour gigi, Carrefour delta, Cité Amissa, Sherko, CHU, Stade de l’amitié, Premier campement et Cap estérias. Dirigée par un gabonais, José Ngimangoal, elle emploie actuellement une vingtaine de personnes.

 

 

James RHANDAL

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