Le MGBEF sollicite le soutien du gouvernement et des organismes internationaux

LIBREVILLE (Equateur) – Nommé l’année dernière à la tête du Mouvement gabonais pour le bien-être familial (MGBEF), Wilfried Erisco Mvou-Ossialas, souhaite pour 2019, poursuivre la relance de son association avec le soutien du gouvernement et des organismes internationaux tels que le PNUD et l’UNFPA.

Le personnel et les volontaires du Mouvement gabonais pour le bien-être familial (MGBEF), ont organisé le samedi 5 janvier dernier à Libreville, un repas de fin d’année. Une occasion pour le président de cette organisation non gouvernementale, Wilfried Erisco Mvou-Ossialas, de faire le bilan de l’année écoulée. « 2018 a été marquée par la relance des activités, même si nous n’avons pas eu assez de mécènes pour nous aider. Nous avons fonctionné avec les recettes propres de notre clinique, de notre laboratoire », a-t-il déclaré.

Pour 2019, M. Mvou-Ossialas souhaite poursuivre la relance du MGBEF, avec notamment des réformes sur le plan structurel et fonctionnel. « Nous devons nous montrer plus inventif et proactif, afin que nos erreurs du passé ne soient que de vieux souvenir. Nous voulons mettre en place un système informatisé de gestion du personnel et des volontaires que nous voulons recruter davantage », a martelé le président du MGBEF.

Pour relever ces nouveaux défis, Wilfried Erisco Mvou-Ossialas, sollicite le soutien du gouvernement et des organismes internationaux tels que l’IPPF, le PNUD et l’UNFPA. « Nous avons besoin du soutien du gouvernement gabonais, des organismes internationaux tels que le PNUD et l’UNFPA, pour  ne citer que ceux-là, pour nous accompagner dans cette lourde et exaltante mission », a-t-il conclu.

Pour rappel, le MGBEF a été crée le 11 avril 1997 avec entre autres missions, la lutte contre les grossesses précoces, la sensibilisation et le dépistage au VIH-Sida etc.

Levi NGOMA